L’activité historique dans les Hauts-de-France est toujours assurée grâce à notre atelier également établi à Marquette-lez-Lille.
Deux sites pour être deux fois plus utiles à la rencontre de nouveaux usagers et de nouveaux paysages.
Depuis juillet 2021, qbis a pris ses quartiers à la lisière du Morvan, au pied de la basilique de Vézelay (89).
L’activité historique dans les Hauts-de-France est toujours assurée grâce à notre atelier également établi à Marquette-lez-Lille.
Deux sites pour être deux fois plus utiles à la rencontre de nouveaux usagers et de nouveaux paysages.
Comme une légère gravité …
lieu : MARQUETTE LEZ LILLE (59)
maître d’ouvrage : privé
maître d’oeuvre : qbis
coût HT : 80 000 €
livraison : 2015
mission : base
surface : 50 m2
Propriétaire d’une petite maison de ville en retrait de la rue, le maître d’ouvrage projette l’extension nécessaire à l’accueil du nouveau né qui rejoindra sous peu cette famille de 3 personnes.
Les besoins se confrontent vite à la taille réduite de la parcelle, et l’implantation du projet s’en déduit sans alternative sérieuse possible : entre le pignon de l’habitation et la limite parcellaire, en front à rue pour dégager les plateaux les plus profonds possibles. L’ensemble est sur pilotis d’acier, pour préserver le stationnement autant que le rapport direct du jardin à la rue.
Souhaité par le maître d’ouvrage, le bardage de pin sylvestre est traité en plusieurs hauteurs de clins à recouvrement dont le sens de pose propose un jeu d’optique qui rompt la verticalité de l’ensemble.
Les encadrements en aluminium des menuiseries s’imposent dans cette composition quasi-abstraite où c’est une façade aveugle qui se présente à la rue, les fenêtres invitant à considérer la construction pré-existante dans un regard «sur le côté».
Chambres de communauté
lieu : SAINT-AMAND-LES-EAUX (59)
maître d’ouvrage : Communauté des Soeurs Hospitalières du Sacré Coeur de Jésus
maître d’oeuvre : qbis
coût HT : 400 000 €
livraison : 2014
mission : base
surface : 420 m2
La communauté des Soeurs Hospitalières de Saint-Amand-les-Eaux possède de longue date une propriété de 5 hectares qui a vu construire plusieurs bâtiments au fil des décennies : la demeure fin XIXème siècle a été adjointe d’un premier cloître R+combles avec chapelle dans les années 20, puis un second cloître R+1+C fut édifié dans les années 40, enfin c’est une maison de retraite qui y fut accolée dans les années 80.
Le nombre des religieuses se réduisant progressivement, une réflexion fut menée sur le devenir des constructions de moins en moins occupées. Un projet de béguinage est amorcé et nécessite de réorganiser les lieux de vie de la communauté. De fait, c’est la maison de l’Immaculée, première construction historique, qui est choisie pour accueillir toutes les chambres des soeurs, chambres qu’il convient d’équiper confortablement en vue, notamment, d’une reconversion future.
Si le mode de vie de ces religieuses reste sobre, leur mission d’accueil et de soins leur fait exprimer joie et confiance. Les chambres proposées sont le reflet de cet état d’esprit et renvoie aux couleurs vives du Togo où la communauté tient un dispensaire.
Les cabinets de toilette sont dissimulés derrière des parois blanches découpées et pliées comme des paravents. Ils jouent de contraste avec les murs qui les reçoivent, colorés à l’instar de quelques faïences qui entourent la douche et le lavabo.
L’intervention aura porté sur le R+1 (5 chambres et parties communes), les combles (7 chambres et parties communes), ainsi que sur la création d’un nouvel escalier R+1/combles, la rénovation de l’oratoire et de la salle du conseil, la modification de l’accès à la cave, l’installation d’élévateurs PMR.
Être vu, être reconnu.
Collaboration avec la société Algeco pour l’habillage de modulaires.
Conception graphique : especedespace
Maison BCM
Chantier mai-juin 2013
En chantier.
L’orée des champs
lieu : BOURLON (62)
maître d’ouvrage : privé
maître d’oeuvre : qbis / Otaké
coût HT : 420 000 €
livraison : 2012
mission : base
surface : 260 m2
A l’endroit où, pour la première fois en 1917, les chars d’assaut furent engagés sur le champ de bataille, une pâture est investie du projet d’accueillir une famille.
Légèrement pentu et d’une surface généreuse de plus de 2800 m2, le terrain reçoit la maison au bord du chemin de desserte, en limite nord du village. Ce faisant, la construction participe au front de rue tout en amorçant le dégagement vers l’horizon champêtre des plaines emblématiques de la région. Le maître d’ouvrage a souhaité que son habitation soit conçue en tant que Bâtiment Basse Consommation. Sur une ossature bois isolée, un isolant extérieur est mis en œuvre, protégé par un bardage de sapin rouge. Chaque niveau reçoit un plancher chauffant, le confort étant appuyé par l’installation d’un poêle à bois dans le séjour.
Chacun des 3 enfants aura sa chambre à l’étage, les parents demeurant en rez-de-jardin dans une suite confortable orientée à l’est. La maison protège la terrasse des forts vents d’ouest qui se heurtent à la grande fenêtre de la salle de jeux : cette dernière est une dunette, une tour de guet, un point de vue, d’où l’on peut voir, sur l’autoroute au loin, rouler les petites voitures.
Cabinet de kinésithérapie
Projet livré en juillet 2011
Rushit BEGA a rejoint qbis le 20 juin 2011.
Au poste de dessinateur CAO, il a en charge la saisie et le développement des projets.
Extension du domaine de la hutte …
… ou de la manière de mieux profiter de son (joli) jardin autant que de la chaleur de l’âtre …
Extension livrée en juillet 2011
Roubaix, soirée d’été : cheminer de cheminée en cheminée…
Lancement du site qbis
Aboutissement d’un projet mené avec especedespace : le site qbis se livre aujourd’hui au regard de qui veut ! Outil de communication et d’information, il se veut simple d’usage, tant pour la maintenance (nous) que pour la lecture (vous). Vos commentaires sont les bienvenus, à adresser par mail en cliquant sur l’adresse située en pied de page.
Bonne visite.
Extension d’une maison individuelle
Cendrier de chantier : un maître d’ouvrage compatissant…
Auguste Perret, Contribution à une théorie de l’architecture, 1952
« Celui qui, sans trahir les matériaux ni les programmes modernes, aurait produit une œuvre qui semblerait avoir toujours existé, qui, en un mot, serait banale, je dis que celui-là pourrait se tenir pour satisfait. Car le but de l’art n’est pas de nous étonner ni de nous émouvoir. L’étonnement, l’émotion sont des chocs sans durée, des sentiments contingents, anecdotiques. L’ultime but de l’art est de nous conduire dialectiquement de satisfaction en satisfaction, par delà l’admiration, jusqu’à la sereine délectation. »
Nouvelle adresse, nouveau logo,… nouveau site !
Lancement du nouveau site qbis, outil de présentation et d’information.
La création de la nouvelle charte graphique était confiée à especedespace.
85 logements BBC & 11 commerces
lieu : MOUVAUX (59)
maître d’ouvrage : NACARAT / SEDAF
maître d’oeuvre : collectif Parenthèse(s) : Frédéric Dumez, David Mauboussin, Laure Pettier, Otaké et qbis + BET : BKW Energies, BSE et B&R Ingénierie
coût HT : 10 000 000 €
livraison : 2014
mission : conception
surface : 7870 m2
La ville de Mouvaux a mené sur près de 10 ans l’étude d’un centre ville qui faisait jusqu’alors défaut. Par la modification du tracé de la rue Roosevelt et la démolition de quelques maisons, un pole d’attraction émerge autour d’une place nouvelle cernée d’une école, d’une médiathèque, d’un équipement sportif et d’un théatre. L’offre de services ainsi renforcée profitera aux riverains actuels autant qu’aux nouveaux habitants que les 200 logements avec commerces créés à cette occasion ne manqueront pas d’attirer.
Le collectif Parenthèse(s) est lauréat des 2 immeubles formant angle sur la future place, tandis que l’agence parisienne LAN s’est vu confié la réalisation des collectifs en front de la rue Roosevelt et sur la rue Guy Môquet.
Point de repère
lieu : DOUAI (59)
maître d’ouvrage : privé
maître d’oeuvre : qbis / ar_tek
coût HT : 480 000 €
livraison : 2009
mission : base
surface : 270 m2
Dans les faubourgs de Douai, au coeur du bassin minier, s’établit la première maison d’un lotissement dont le réglement a été rédigé par le maître d’ouvrage lui-même, propriétaire de ce vaste terrain. Les 5 parcelles issues de cette division sont en principe dédiées à la promotion d’une architecture contemporaine, ce qu’il s’agit de communiquer à l’occasion de ce tout premier projet.
De fait, celui-ci impose une plastique rectiligne, corps couché et plié où l’horizontalité de l’ensemble le dispute à la verticalité des ouvertures, dans une simplicité de propos qui se veut élégante.
Au milieu d’un vaste jardin paysager, l’édifice de blanc vêtu (enduit sur isolant extérieur) met en place quelques dispositifs attendus du commanditaire : structure bois, plancher chauffant, géothermie et VMC double flux. Les habitants attendent maintenant de découvrir quel voisinage va leur échoir …